Pardon, mais ça m'énerve un peu, la lecture:
les Trois Ours ferment parce qu'ils faisaient des courts-métrages (exigeants) (pas seulement la tienne, Cé, sur facebook il y en a d'autres dans le même sens).
Relisons l'article:
Olivier Catherin, le patron des Trois Ours, explique qu’"un ensemble de choses a conduit à cette liquidation". Le studio était en redressement judiciaire depuis un an. "Nous étions prestataires sur deux projets. Pour l’un, nous avons été payés avec six mois de retard. Pour le second, notre client a rompu le contrat sans nous prévenir." En plus, Les Trois Ours était en attente d’un projet de long-métrage qui a tardé à démarrer. "Le tribunal n’a pas voulu prendre de risque. Il a prononcé la liquidation", regrette Olivier Catherin, le seul salarié permanent du studio de la rue de Bordeaux.
Les deux projets dont Olivier parle n'étaient pas des projets de courts-métrages.