Ponyo sur la falaise

Pour ceux qui, comme moi, auraient eu la chance de voir le film, malgré la cohue, au "Manga Building" d'Angoulême. Plutôt bien apprécié d'ailleurs par les gens présents dans la salle, une ambiance de mômes frétillants d'impatience, un peu comme au festival d'Annecy avec les avions en moins.
Pour ma part je l'ai trouvé bien sympathique, avec une nouvelle technique de décor plus légère, bien maitrisée: aquarelle, encres et crayons de couleurs, ce qui change des peintures d'Oga Kazuo, qui n'en reste pas moins un maitre . On retrouve comme dans Totoro certains petits détails typiques des attitudes enfantines, leur donnant crédibilité à leur personnalité. L'univers est poétique : la représentation de la mer, le mélange des éléments... Un peu trop dans la continuité du "chateau ambulant" j'ai trouvé, mais l'univers de Miyazaki est toujours fertile de bonnes idées et n'a d'ailleurs pas eu de mal a effacer le mauvais souvenir des "Comptes de Terremer" de son fils. On pourra toujours reprocher quelques entorse scénaristiques, mais le monde de Miyazaki est tellement envoutant que l'on oublie vite ces petits détails.
Si Ponyo n'a réussit à détroner les Porco Rosso ou Chihiro, il reste un bon film, rafraichissant qu'il ne faut pas louper
à voir donc
Pour ma part je l'ai trouvé bien sympathique, avec une nouvelle technique de décor plus légère, bien maitrisée: aquarelle, encres et crayons de couleurs, ce qui change des peintures d'Oga Kazuo, qui n'en reste pas moins un maitre . On retrouve comme dans Totoro certains petits détails typiques des attitudes enfantines, leur donnant crédibilité à leur personnalité. L'univers est poétique : la représentation de la mer, le mélange des éléments... Un peu trop dans la continuité du "chateau ambulant" j'ai trouvé, mais l'univers de Miyazaki est toujours fertile de bonnes idées et n'a d'ailleurs pas eu de mal a effacer le mauvais souvenir des "Comptes de Terremer" de son fils. On pourra toujours reprocher quelques entorse scénaristiques, mais le monde de Miyazaki est tellement envoutant que l'on oublie vite ces petits détails.
Si Ponyo n'a réussit à détroner les Porco Rosso ou Chihiro, il reste un bon film, rafraichissant qu'il ne faut pas louper
