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Aller j'ouvre un topic, car je me lance dans la fabrication d'un écran d'épingles, après avoir vu il y a un an le film de Michèle Lemieux (le grand ailleurs et le petit ici) que l'on peut voir sur le site de l'ONF http://www.nfb.ca/film/grand_ailleurs_et_le_petit_ici
et vu son interview en video avec les petites explications du fonctionnement
ils (Alexeieff et Parker) en ont fabriquer 3 en tout est pour tout (mis a part les prototypes)
le VEC (vielle ecran) le NEC (nouvelle écran) fabriqué à la demande de l'ONF et son jumeau l'épinette qui arrive bientôt à Bourg les Valence à Folimage pour être utilisé car il à été racheté pour le CNC dans la vocation de faire des films plutôt que de pourrir dans un musée.
Depuis qu'Alexandre Alexeieff et Claire Parker sont morts et que Jacques Drouin à pris sa retraite il ne reste que Michèle Lemieux qui fait des films avec cet écran (Le NEC)
Cette écran est composé de 240 000 épingles (rien que ca) chacune coulisse dans un petit tube en plastique blanc et tout ces petits tubes se tiennent ensemble grâce au cadre en acier qui les entoure et les presse.
les tubes sont en plastique blanc et les épingles sont peintes en noir. On place un éclairage à 45° de chaque coté de l'écran donc quand les épingles sont complètement rentrées on voit que du blanc (les tube en plastique) et quand on sort les épingles cela génère une ombre qui donne du gris et va jusqu'au noir quand les épingles sont complètement sorties et que leur ombre empêche la lumière de passer.
On peut donc varier de blanc au noir sur toute la surface avec une multitude de nuances suivant la position de chaque épingle.
pour modeler l'écran d'épingle on peut utiliser tout sorte d'emporte pièce ou d'objet pour y laisser son empreinte en volume
je m'attelle donc à la recherche du système que je vais utiliser
clous,cure-dents,épingles,etc...
et le système pour les faire coulisser:
-soit une plaque en alu à trous (j'en ai trouvé toute faites chez bricorama)
-soit une planche en bois que je peux faire percer avec une perceuse à commande numérique afin de faire des milliers de petit trous très fin et très rapproché (pas loin de chez moi il y a la vallée de l'Arve ou pullulent des machines-outils dans des usines de décolletage de précision)
-soit des entretoises en plastique (la technique d'Alexeieff) cela existe en électronique pour fixer des cartes les unes au dessus des autres sans qu'elle ne se touchent avec différentes taille,diamètre et longueur
-il existe aussi en électronique des plaquettes à trous en epoxy pour faire des montages électronique au pas de 1.27 mm ou 2.54 mm avec des diamètre de l'ordre de 0.6mm (taille des pattes de composants).
voilà si vous avez des idées, une expérience, des idées, des remarques, des conseils, ou autre ce topic est fait pour cela.
merci patator je connais ceux là en objet Jouet/déco
mais le probleme et qu'il y a une vitre d'un coté et que tu ne peux pas ramener les epingle une à une
d'ailleurs elle coulissent sans aucune résistance et se casserait donc la gueule sans la vitre si on penche trop le bidulle
je pense qu'il faut que les épingles coulissent mais avec une certaine résistance
mais ca peut me donner des idées
j'ai même imaginer une version avec de la fibre optique en gise d'epingle et comme elle serait allumée il n'y aurait pas d'éclairage au contraire on filmerait dans le noir et c'est la fibre optique legerement sorti qui donnerai la lumiere
Ah oui ca serait pas mal avec des fibres optiques. mais a mon avis tu perdrais les nuances d'ombres que font les épingles en étant plus ou moins sorties. Du coup ca reviendrait quasiment a filmer un écran LED, non?
Votre discussion me fait penser à un travail de l'artiste contemporain Xavier Veilhan, que j'avais vu à Avignon. La seule image que je trouve sur le net, c'est ça:
Un écran fait d'ampoules tungstène, s'allumant plus ou moins. Les vidéos étaient difficilement lisibles avec cette résolution (je ne sais pas, 300 ampoules sur 200, peut-être) mais c'était très beau, captivant.
@Patator ->bein non je pense pas les fibre optique sont un espece de cylindre que l'on peut deplacer comme des epingle en les poussant ou tirant dans des trou sur une plaque noir
@Marie ->oui on peut aussi jouer sur l'intensité des led ou ampoule pour donner des effet mais j'imagine pas la commande des 2400 00 leds....
j'ai trouvé une video sur la light machine de xavier veilhan
et une photo
merci pour la découverte de cet artiste marie, j'aime bien ce qu'il fait (surtout ces espece origami geants)
ou alors dans l'ordinateur on choisit une image qui est interprété par un boitier électronique qui commande l'intensité des leds...
mais c'est vrai pour commencer que je veux plutot faire un ecran mécanique plus traditionnelle
rien ne m'empêche par la suite de le moderniser ou adapter
bon ce matin en faisant le marché j'ai fais quelques emplette "un boite d'épingle" en acier suoer fine 30 * 0.5mm ilu a en a 100g mais ca fait un bon paquet dans la boîte (au moins 1000)
ducoup j'a ifait des 1er essais en fixant une plaquette à trous en époxy (pour l'électronique) sur un bout de polystyrène et j'ai planté quelques aiguilles
au niveau résistance quand on pousse ou tire ça va (avec les polystyrène qui frotte) par contre quand on les plantes elle ne sont jamais à la perpendiculaire et le dessin derrière ne correspond pas à celui de devant
il faut bien donc des petit cylindre qui servent de guide...
ou alors empiler plusieurs plaquette en époxy mais avec un diamètre plus fin pour que les épingles frottent car actuellement et nage dans le trou de la plaquette
Il existe un documentaire sur l' excellent site de l'ONF (pléonasme !). Et pour vous mettre l 'eau à la bouche : ce sont les maitres de l'épingle themselves Alexandre Alexeïeff et Claire Parker qui donnent quelques conseils sur l'utilisation du fameux écran, le tout filmé par Norman McLaren. A voir jusqu'à la fin...pour le conseil sur l 'inspiration! c 'est par là:
Cool j'ai trouvé un fabricant français d'épingles en normandie (une manufacture qui date de 1866) qui font tout type d'épingles à différents diamètres et différentes tailles en acier, laiton ou en nickel Bohin voila le catalogue http://www.bohin.fr/iso_album/new_brochure_2013.pdf
comme les épingles ne doivent dépasser que de quelques millimètres de l'écran et que je ne veut pas un écran trop épais car je n'aurais pas assez de profondeur pour le percer en une seule fois une un mèche très fine et aussi très courte.
je vais peut-être choisir les épingles les plus courtes, par contre elle sont en nickel et pas en acier trempé il y en à au diamètre 0.6mm qui font 14mm de longueur ou d'autre 22mm de longueur
au lieu des 0.5 30mm que j'avais touvé jusqu'à présent
il y en a aussi d'autre en laiton ( a voir si c'est assez solide et qu'elle ne risque pas de se plier ou tordre)
ce me fait refaire mon plan de perçage en espaçant un peu plus et gagnant quelque épingles en moins pour l'instant j'était à 55000 épingles
cé a écrit:Cité sur le Facebook [L'animation tue] : l'écran de nouilles
Ouah, c'est chouette ça, et ça ressemble étrangement à du sable. Regarder aussi la fin, il joue avec les nouilles/épingles qui deviennent des éléments de décors.
Et au moins, l'écran ne reste pas à encombrer l'atelier quand il n'yen a plus besoin - quand au recyclage il se fait par les voies naturelles.
moi ce qui m'épatte c'est la finesse de ses anims, on voit aucune trame ou différence entre la pattes
il a doit faire le point devant ou derrière la mur pas au niveau du mur (sinon on verrait obligatoirement des petit points) Un peu comme le faisait alexeiff alors que drouin a pris le contrepied en faisait le point sur l'écran et d'utiliser la trame dans ses films jusqu'a mettre en scene l'écran (comme l'a fait aussi michel lemieux)
Bah après, ca dépent de ton nombre de nouilles, comme ca dépend de ton nombre d'épingle. plus il y a de nouille, plus c'est fin. Moins il y en a plus tu es en mode animation 8 bit. =) Non?
Voila la bonne résolution de l'année 2015 je me remet à fond sur le projet d'écran d'épingles. avec déjà une petite vidéo de KinoTV avec Michèle Lemieux qui explique bien le fonctionnement à partir de 3minutes 30 sur le NEC junior screen(nouveau écran d'épingle = le cousin de l'épinette)
on voit même un tube dans laquelle elles coulissent et une épingle qu'elle prend dans la main ca donne un idée de la force de friction et de la saillie des epingles par rapport au tube.
un autre référentiel avec encore Michèle Lemieux lors d'un démonstation à Valence organisée par l'équipée lors du festival d'un jour de 2013 avec le Baby-Screen .
ca doit ressembler à la démonstration qu'elle devait faire à Annecy pendant le festival il y a 2 ans et qui a été annulée On y voit aussi les tubes avant qu'il soit découpé et elle dit que les épingles du baby screen sont des cordes de piano découpés (piste intéréssantes vu le prix des épingles en acier)
sinon j'ai acheter chez Heeza l'année dernière le livre qu'avait écrit Giannalberto Bendazzi (en collaboration avec CINEDOC, le CITIA et la cinématèque française) "Alexexeieff- Itinéraire d'un Maître" en 2001 lors de l'hommage /rectrospective qu'avait organisé le festival d'Annecy cette année là. http://www.heeza.fr/fr/livres-animation/1089-livre-alexeieff-itineraire-d-un-maitre.html
J'ai du coup contacté Giannalberto Bendazzi pour savoir s'il avait de la documentation sur la fabrication elle même de l'écran d'épingle et il m'a retrouvé un trésor
comme j'avais déjà celui de Jacques Drouin il ne me manque que le DVD de Michèle Lemieux et j'aurai la collec
Sinon j'ai découvert à l'unversité d'Annecy (école d'ingénieur Polytech)qu' il y avait un FabLab http://fablab74.com/(qui est un lieu ouvert pour réaliser des projet avec des imprimantes 3D) ca me donne des idées et celà pour m'aider pour la conception de l'écran d'épingle ou tout du moins de son support.
J'ai refais un plan de percage en placant les trous à 60° si on trace un triangle entre 3 trous il est équilatéral. Comme le préconise alexeïeff pour que l'ombre généré par les lumiere à 45° recouvre bien
Sveltana Alexeïeff/Rockwell la fille unique d'Alexandre Alexeïeff et de sa première femme Alexandra Grinevsky vient de décéder à l'age de 91 ans. C'était la dernière personne à avoir travaillée à la fabrication d'un écran d'épingles dans l'atelier de son père. Pour lui rendre hommage l'ONF diffusent des documentaires et des films sur l'écran d'épingles.
Merci pour le lien, il y a de très belles choses. Le documentaire 24 idées par seconde où l'on voit Jacques Drouin travailler est très intéressant. J'aime beaucoup le côté artisanale avec des objets texturés et des gélatines sur les lumières pour mettre de la couleur. Le genre de film qu'on fait avec cette technique sont pas forcément ma câme, mais il faut reconnaitre que visuellement, c'est superbe.
Je me trompe, ou bien il n'y a pas de plaque percée dans l'écran d'épingle ? il me semble que les tubes blancs dans lesquels sont glissées les épingles sont simplement empilés les uns sur les autres et que c'est le poid de l'ensemble qui maintient le tout.
alors pour les reportage ils sont tiré de DVD dont un édité par l'ONF sur l'oeuvre complète de Jacques Drouin que je vous conseil d'acheter, il y a un livret avec le DVD ou Drouin explique plein de choses intéréssantes et des bonus en plus de ses films
et l'autre documentaire ou alexeieiff explique avec claire parker le fonctionnement de l'écran d'épingle à l'ONF en précense de mc laren et d'autre animateur est sur le DVD le cinéma épinglé l'oeuvre complete d'alexandre alexeieff.
Il faut savoir que l'ONF avait commandé spécialement un écran d'épingle à Alexeieff plus pratique que ceux qu'il avait déjà réalisés c'est donc le Nec -(nouvelle écran d'épingle qu'on voit dans la vidéo) qu'il livrait à l'ONF et il leur expliquait son fonctionnement.
C'est celui sur laquelle à travaillé Jacques Drouin pendant 30 ans et maintenant Michèle Lemieux à repris le relais.
Il faut savoir que le NEC à un Jumaux l'épinette qui n'a jamais été utilisé et qui restait dans les musée, il a été remis en était par Jacque Drouin il y a quelque temps et devrait normalement est livré à Folimage pour être utilisé d'ici quelques temps.
Pour la fabrication d'écran d'épingles il y a eu plusieurs évolutions
les premiers étaient percé dans de la tôle avec de la parafine derrière pour tenir les épingles, puis Claire Parker à eu l'idée de ses tubes très fin superposée les un sur les autres en quinconce serrée les uns contre les autre par un cadre en acier qui possèdent des vis de serrage si vous regarder bien les vidéo.
entre temps il y a eu un avec des plaques vinyles avec des rainures les unes contre les autres.
Je veux pour le mien en le perçant avec un centrale d'usinage gagner beaucoup de temps en évitant d'avoir à poser les tubes les uns sur les autres après les avoir découpé à la bonne taille tout en gardant une bonne homogénité la perceuse perce les trous au 10eme de millimètre.
Surtout que Jacques Drouin explique dans la maintenance de l'épinette qu'il y avait un lubrifiant dans chaque tube qui avec le temp avait séché et lorsque l'on poussait les épingles le tube venait avec...
J'avoue n'avoir jamais bien compris cet engouement pour l'écran d'épingle, post Alexeieff-Parker....et encore moins pour le cinéma-sacerdoce qu'il implique...ou plutôt, sa technique en regard des résultats formels et cinématographiques qu'il a produit. Parce que si je comprends les besoins d'Alexeieff, en réponse à son goût prononcé pour la gravure... je m'interroge sur le rapport temps-énergie-résultats formels-cinéma d'un tel outil aujourd'hui. Et je me demande, si, comme quelques grands peintres, Alexeieff et Parker n'ont pas commencé et parfaitement achevé seuls, le tour de leurs outils, de leurs expérimentations, de leur langage-écriture, conçus sur mesure pour leur propres questions artistiques ... Et d'ailleurs, je trouve que seuls leurs films sont intéressants...pas ceux de leurs successeurs-héritiers... Personnellement, les films de Drouin ne m'ont jamais convaincu de l'indispensable utilisation de cet écran pour faire les films qu'il a fait avec, et même chose avec les suivant-tes... D'ailleurs, ça m'a toujours gêné d'entendre parler de leurs films de façon indissociable de l'outil qui a servi à les fabriquer. Autrement dit, comme toujours, ou le film est intéressant...ou il ne l'est pas, quelle que soit sa technique. C'est un peu comme si l'utilisation de cet écran fastidieux, induisant inévitablement de l'effort (y compris de la douleur à fabriquer..."les doigts qui saignent"...arg!), une importante chronophagie, un geste forcément habile et artistiquement recevable, et avec une telle persévérance, impliquait que le film n'en soit que meilleur...évitant systématiquement toute notion d'échec, toutes critiques formelles du résultat...sans parler de celle du récit/scénario... Mais je n'ignore pas non plus que cette présence envahissante de la technique ou des objets, acolée souvent (faussement) à la notion d'originalité ou d'audace, est un des apanages d'une partie du cinéma d'animation...Pour le meilleur...et pour le pire.
ha bein je t'engage Zac à re-re-regarder le films de drouin il y a apporté de la couleur en placant des gélatine sur des zones d' éclairages, de la poésie dans le paysagiste et surtout l'utilisation de tout un tas de gabarit pour faire de chouette empreintes. et le fait de le faire tourner legerement pour changer le gamma
d'ailleurs alexeieiff etait un graveur et Drouin un peintre et ca se ressent dans leur manière d'utiliser l'écran
Je trouve le rendu encore plus beau que du sable et pour ma part j'ai juste envie d'essayer cette technique de 3D traditionnelle
composer une image en fabriquant des ombre en poussant ou retirant des objet je trouve cela plutot ludique.
j'adore la notion de flou parfait dont parlait alexeieff grace à son écran
et je trouve que michel lemieux qui joue carrément avec l'objet (elle fais dansé des épingles) à une approche plutot sympa
je ne pense pas qu'il y a tellement d'engoument peut de gens en dehors de l'animation connaisse l'écran d'épingles
musecyan a écrit:...... Je trouve le rendu encore plus beau que du sable et pour ma part j'ai juste envie d'essayer cette technique de 3D traditionnelle
.....
Mais ton envie d'en re fabriquer un n'est pas du tout contestable, bien au contraire.... et ce que j'ai écrit n'est qu'un avis...
Je me suis toujours posé la question du temps dans la fabrication de films animés...pas celui qui est nécessaire à son existence...mais de celui qui use et qui finit par diluer la force d'une idée ou d'un projet tout entier dans des problématiques qui n'ont plus rien à voir avec l'énergie qu'on se doit de répartir sur des aspects plus importants que la technique elle même. Ce n'est jamais simple, je le reconnais.... Il y a un équilibre à trouver entre la durée de mise en oeuvre et la qualité globale du film à faire... l'écran d'épingles nécessite beaucoup de temps sur le détail, et ça se sent beaucoup dans les films qui sont fabriqués avec...la nécessité de passer un temps fou sur chaque image, peut nuire à la qualité et à la fluidité du scénario à postériori... Après, concernant les films de Drouin ou Lemieux, je les trouve assez classiques et un peu empâtés dans une symbolique gentillette...assez éloignés de la modernité de ceux d'Alexeieff-Parker...ce qui, près de 80 années après, n'est pas terrible... Mais ce n'est là que mon point de vue hein...
Et bien je suis d'accord avec Zac sur Jacques Drouin (un peu moins sur le Grand Ailleurs et le Petit Nulle part de Michèle Lémieux, que j'ai bien aimé), et je trouve aussi que l'approche bricoleuse de l'écran d'épingles par notre ami musecyan est très prometteuse, pas du tout révérencieuse, maline, j'ai hâte de voir ce que ça va donner.
Plus que les techniques elles-mêmes (qui n'y sont pour rien), c'est parfois l'aura des créateurs qui y est associée, quand elle devient mythique (comme celle d'Alexeieff) qui entrave l'imagination... enfin j'imagine que c'est ce qui a dû se produire pour Jacques Drouin.
On en revient au débat de la sueur et des armes qui doit produire un boÔo dessin. La qualité d'un film n'est pas nécessairement proportionnelle au temps qu'on passe à la faire et de la souffrance que sa création engendre.
Je n'ai en ce qui me concerne pas d'avis sur la question de l'écran. Je trouve l'objet fascinant, les nuances de gris assez étonnantes, comme Marie j'ai bien aimé le dernier Lemieux, mais le joli dessin plein du nuance me fait bailler. Et pourtant je suis un grand amateur de gravure justement...
Bah.
"Quand la raie manta, son nez s'allongit."
Les fourmis n'aiment pas le Flamenco, Auguste Derrière, Ed. Le Castor Astral